- Accès facilité aux seringues, généralisation des programmes d’échanges de seringues et installation de distributeurs automates
- Aise en place de programmes méthadone dans toutes les grandes villes françaises. (il n’y a actuellement que 52 places, uniquement à Paris)
- Organisation de réseaux de médecins généralistes se répartissant la prise en charge des toxicos, où circulerait une information spécifique. En corollaire, possibilité pour ceux-ci de prescrire des produits de substitution (y compris les spécialités inscrites aux tableau B)
- Accès libre, gratuit, anonyme et sans condition de sevrage aux soins médicaux et hospitaliers (prise en compte de la dépendance)
- Arrêt immédiat des incarcérations de toxicomanes pour simple délit d’usage de stupéfiant ; suppression de l’injonction thérapeutique.
- Prise en charge médicaux-sociale des détenus séropositifs pendant leur incarcération et au delà de leur sortie.
- Visite obligatoire d’un médecin aux toxicos en garde à vue depuis plus de 8 heures.
- Augmentation des places disponibles en post-cure (actuellement 600 lits pour près de 200 000 toxicos)
- Mise en place de structure d’accueil, d’hébergement pour les toxicos les plus marginalisés, souvent sans aucune couverture sociale.
- Aides des pouvoirs publics à la création et au fonctionnement autonome de groupes d’auto-support d’usagers et ex- usagers de drogues et participation aux décisions prises en matière de toxicomanie.